LIVERTE : les, j’irai dans, j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, je ne parlerai pas, mais l’amour infini me montera, la fraîcheur à mes pieds, je laisserai le vent baigner ma tête nue, fouler l’herbe menue, picoté par les blés. (zzzzz)
LIVERTE : les, j’irai dans, j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, je ne parlerai pas, mais l’amour infini me montera, la fraîcheur à mes pieds, je laisserai le vent baigner ma tête nue, fouler l’herbe menue, picoté par les blés. (zzzzz)