Et voici la chronique d’octobre que Zéda réalise chez A Voir A Lire, une chronique où notre héros tente à nouveau de définir la BD…
ZEDA PARLE DE… LA DÉFINITION DE LA BD (AGAIN) : Suite de dessin qui raconte une histoire ou qui présente un même personnage – Voilà la définition de la BD qu’on a trouvée le mois dernier dans Le Petit robert. – Le problème de cette définition, c’est qu’elle peut correspondre à un dessin animé ou à une série de tableaux de Warhol. – Mais alors comment définir la BD ? – Au passage, vous avez vu comment j’ai bien récuré la pièce ? – Mais bon, écartons donc cette définition inadaptée… – Pour moi, la BD est avant tout un art visuel, pas comme la musique par exemple. Ça me paraît important, mine de rien. – L’enchaînement de plusieurs dessins, le côté séquentiel me semble capital ! Sinon, on regarde juste un dessin. – Et la lecture de cet enchaînement dégage une émotion et ou un sens (ou l’absence de sens qui peut être un sens en soi). – Et pour finir, dans la BD, le lecteur contrôle son rythme de lecture, contrairement au cinéma, où le film se voit en un temps donné défini par l’auteur. – Le reste, est-ce vraiment spécifique de la BD ? – Alors, voilà ma proposition. (toc toc) – BD : Art visuel présentant une suite de dessins que le lecteur parcourt à son rythme et dont la lecture fait naître une émotion ou un sens. – NON MAIS JE RÊVE, IL SE CROIT CHEZ LUI ! S’IL VEUT DÉCORER LES MURS, IL A QU’A PUNAISER SES DOSSIERS EN RETARD ! (scratch scratch) – Euh, attendez… C’est la conclusion de mon dossier Défini… – C’EST A VOIR A LIRE ICI ! PAS LE MUSÉE D’ORSAY ! – Bon, j’espère que vous avez eu le temps de noter car je me rappelle pas trop de ce que j’avais mis…