ZEDA PARLE DE… PARIS MANGA 2017

Pour sa chronique A Voir A Lire du mois de septembre 2017, Zéda s’est rendu au Salon Paris Manga ! Une BD que vous pourrez retrouver aussi sur A voir A Lire !

ZEDA PARLE DE… PARIS MANGA 2017 : – Hello, je reviens du Salon Paris Manga Sci-Fi Show qui avait lieu Porte de Versailles. – J’ai fait des photos pour partager mes impressions. – Et je vais vous les montrer grâce à mon super paper-board ! – Y avait énormément de monde mais quelque chose m’a frappé. – La pavillon avait un côté underground : sol bétonné grisâtre, poutre de fer apparente, plafond bas… – Ça soulève une question : Les gestionnaires du parc des expo de la Porte de Versailles devraient-ils mieux restaurer ou les organisateurs du salon mieux décorer ? – Mystère et boules de gomme ! – Mais continuons. Il y avait deux scènes de rencontres, l’un côté manga et l’autre côté sci-fi, chacune à un bout du salon. – Nouvelle question : Pourquoi placer la scène Manga, où on a besoin d’entendre, à côté de l’espace Dance Revolution où la musique explose ? – Du coup, dur de suivre les conférences, ou les questions ud public, lors de la rencontre avec Kunihiro Ikuhara par exemple… – Par contre, côté Sci-fi, c’était mieux. L’espace était à côté de l’expo voitures de séries et films. – Et entre les deux scènes, des artistes, des stands commerciaux, des bornes de jeux vidéos et même des démos de catch ! – Et moi, sur place, je me suis fait un petit cadeau (toc toc) – Et hop, un gros Totoro ! (hiiiiinn) – IL EST PAS LA POUR MONTRER SA COLLECTION DE PELUCHES MAIS POUR UN ARTICLE SUR PARIS MANGA ! – fiou (SLAM) – OK, ok, je vais écrire l’article. Mais avant, j’ai quelque chose d’important à faire… – Totoro Totoro Darega Ga Kassori

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ZEDA PARLE DE… RIEN

Pour sa chronique A Voir A lire du mois d’aout, Zéda en a profité pour parler de… rien ! Un break d’été sans l’être pour notre héros !Un dessin que vous pourrez retrouver aussi sur A Voir A Lire.

ZEDA PARLE DE… RIEN

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ZEDA PARLE DE… PROTAGONISTE (AGAIN)

Nouvel épisode de la rubrique mensuelle de Zéda chez Avoir A Lire. Aujourd’hui, notre héros continue à explorer la notion de protagoniste.

Le moment de retourner lire « ZEDA PARLE DE… PROTAGONISTE« .

Hé oui, rappelez-vous « ZEDA PARLE DE… L’OBJECTIF » et « ZEDA PARLE DE… L’OBJECTIF (AGAIN)« !

Vous pouvez aussi retrouver cette rubrique sur A Voir A Lire, où Zéda intervient tous les mois !

ZEDA PARLE DE… PROTAGONISTE (AGAIN) : – Le mois dernier, on était arrivé à une drôle de définition du protagoniste. (PROTAGONISTE (n.m.) : Acteur qui joue la partie d’un rôle dramatique correspondant aux paroles que doit dire sur scène l’acteur, partie qui vient en tête par l’importance, la valeur, qui est lus remarquable que les autres. – Un problème, c’est de définir le protagoniste par rapport à l’acteur et non à son personnage dans le récit. – Et puis, les critères sont subjectifs. « la valeur, l’importance », « plus remarquable ». Comment définir cela de manière objective ? – Aussi, j’ai mis le petit robert de côté pour m’appuyer sur un autre livre. – La Dramaturgie d’Yves Lavandier ! – Certes, depuis, il y a eu pléthore de livres sur la dramaturgie. Mais celui-ci contient un petit lexique fort intéressant où l’on découvre la définition suivante : – tadadaaaa ! (PROTAGONISTE :Personne d’une œuvre dramatique qui vit le pus de conflit sur l’ensemble de l’œuvre – Mais je vous vois venir, vous vous demandez « Comment il définit le conflit ? » – Hop, Lavandier répond : « Situation créée par l’opposition entre un objectif et un obstacle et génératrice d’émotions pour celui qui la vit » – L’objectif, on en a déjà parlé. – Et l’obstacle, d’après Lavandier, c’est ce qui s’oppose au protagoniste. Ce qui l’empêche d’atteindre son objectif. On en parlera peut-être une autre fois. – On y voit plus clair et les possibilités sont vastes. Plusieurs personnages peuvent être le protagoniste d’une même histoire ou… (toc toc) – Un personnage peut être protagoniste, puis changer de casquette et devenir adversaire, mentor ou autre. (hiiiin) – IL A FINI DE JOUER AVEC SES COUVRE-CHEFS ! AU BOULOT ! – (SLAM) Moi, je suis le personnage principal de mes aventures, mais en suis-je le protagoniste ?  

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ZEDA PARLE DE… PROTAGONISTE

Zéda revient avec ses réflexions sur la dramaturgie qu’il partage chaque mois sur le site A Voir A Lire et aussi ici-même dans la rubrique « ZEDA PARLE DE… » !

Rappelez-vous « ZEDA PARLE DE… GENRE« .

Rappelez-vous « ZEDA PARLE DE… GENRE (AGAIN) » !

Retrouvez cette histoire sur A voir A Lire !

ZEDA PARLE DE… PROTAGONISTE : – Après les genres, on va parler ce mois-ci du protagoniste d’un récit. – Et là, c’est facile. Par exemple, moi, je suis un protagoniste. Et voilà ! – Mmmmh… Je sens que vous n’êtes pas plus éclairé sur le sujet. – Bon, consultons le Robert. – Protagoniste (n.m.) : acteur qui joue le premier rôle dans une tragédie grecque. – bon, ça aide pas beaucoup. – vous noterez au passage mon super paperboard. – Mais revenons à nos moutons. Premier souci : On n’est pas forcément dans une tragédie grecque. – Deuxième souci : comment définir le premier rôle ? – Rôle (n.m.) : Partie d’un texte dramatique correspondant aux paroles qu’un personnage que doit dire sur scène un acteur. – déjà… – J’accroche la définition de rôle ici. – Donc, un protagoniste serait l’acteur jouant la partie d’un texte plus remarquable que les autres. (toc toc) – Premier : Qui vient en tête pour la valeur, l(importance; qui est plus remarquable que les autres. – Reconnaissons qu’en terme de narration, on n’est pas plus avancé pour définir objectivement un protagoniste. (grat grat hiiiin) – OH ! IL VIRE SES AFFICHES ET IL VA BOSSER ! – bon, euh… Le mois prochain, on va tenter de trouver la clé de ce mystère. (SLAM) – Enfin, j’espère car faut que je sache ce que je suis dans cette histoire, moi (a voir a lire) !

 

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ZEDA PARLE DE… GENRE (AGAIN)

Rappelez-vous « ZEDA PARLE DE… GENRE« .

 

Vous pouvez également retrouver ce strip sur A Voir A Lire, où Zéda tient sa rubrique mensuelle « ZEDA PARLE DE…« .

ZEDA PARLE DE… GENRE (AGAIN) : – Le mois dernier, on a abordé les genres. – On s’était rendu compte que la classification par genre soulevait quelques problèmes… – Et j’avais alors proposé de classer les histoires en fonction des émotions qu’elles suscitent. (drame comédie comédie dramatique) – Il faudrait donc lister les émotions et là tout se complique. – Selon les interlocuteurs, il y aurait 4 émotions fondamentales, 7 émotions universelles et 6 émotions de base… Comment trancher ? – Comme il a fallu choisir, j’opte pour la simplicité, les 4 fondamentales : joie, peur, colère, tristesse. – Voilà des histoires axées émotions. (récit d’angoisse -> peur, comédie -> joie, drame -> tristesse)  – Mais à mon avis, cette liste est incomplète. – Et du coup, ces genres n’en sont plus car liés à des époques ou à des lieux, et non à des émotions.(westerrn, cape et épée, science-fiction historique) – Vous allez dire que els récits classés selon les émotions sont des genres et les récits classés en fonction des lieux et époques de sous-genres ? – Mais regardez le récit d’angoisse, souvent classé en sous-genre, devient genre à part entière (angoisse -> peur) toc toc – Et de plus, des récits comme ceux-ci n’appartiennent à aucune des deux classifications précédentes (récit choral, polar , aventure, super-héros) hiiiinn – C’EST FINI DE GRIBOUILLER PARTOUT ! S’IL VEUT UN PAPER BOARD, IL DEMANDE A L’INTENDANCE ! – Bon, on voit que tant que le système ne sera pas remis à plat, la classification par genre restera une grosse bouillabaisse. (SLAM) – Quant au film d’auteur, il sous-entend qu’il y a des films écrits par des non-auteurs. si l’auteur est celui qui écrit une histoire, comment est-ce possible ? – Sinon, le paper-board, c’est peut-être une bonne idée…

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ZEDA PARLE DE… GENRE

Rappelez-vous « ZEDA PARLE DE… L’HISTOIRE » et « ZEDA PARLE DE L »HISTOIRE (AGAIN) »

ZEDA PARLE DE… GENRE : – Les genres d’histoire, on en connaît tous une flopée ! – drame polar road-movie comédie polar science-fiction western historique gore érotique etc… – Mais pourriez-vous définir ce qu’est un genre ? – Le Robert nous propose : « Genre (n.m.) : catégorie d’œuvre définie par la tradition (d’après le sujet, le ton, le style) » – C’est donc la tradition qui définit le genre d’une œuvre ? – Mais alors, précisément, qu’est-ce que la tradition ? – Tradition (n.f) : 1/ doctrine d’ordre religieuse ou morale transmise de siècle en siècle, originellement par l’exemple ou la parole, 2/ Information plus ou moins légendaire, relative au passé, transmise d’abord oralement de génération en génération. – Et hop, la magie du Robert ! – Le genre d’une œuvre serait défini soit par la morale, soit par des infos légendaires, surprenant, non ? – On comprend mieux pourquoi il y a des dissensions sur les genres et des tas de lieux communs sur le sujet. – tenez, une comédie peut être un western ou un polar un drame, mélange des genres ou problème de définition ? – Sans parler du film d’auteur, qui correspondrait à un genre ? (crrr) – CRAC road-movie, comédie, drame, gore (oulah) – Comment débroussailler tout cela ? – On peut déjà voir que western, science-fiction ou historique renvoient à une époque… – Alors que drame, comédie, renvoient aux émotions suscitées par l’histoire chez celui qui la découvre. – On avait vu qu’une bonne histoire provoquait des émotions. Pourquoi ne pas classer les genres en fonction des émotions provoquées (toc toc outch) – La comédie pour le rire, le drame pour les larmes et la comédie dramatique pour les deux. Ce serait aussi simple que ça ? (hiiiiin) – AU LIEU DE FAIRE GENRE JE TRAVAILLE, IL VA TAPER SA CHRONIQUE (gloups) – Ben, on revient là-dessus dans u mois… (SLAM)

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