NIGHT AND DAY

La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » se conclut avec son dixième et dernier épisode « NIGHT AND DAY». Vous n’avez pas lu ce qui précède ? Vous pouvez partir du premier épisode « PREFACE » ! Et si vous êtes là depuis un moment et que vous souhaitez vous rafraîchir un peu la mémoire, vous pouvez relire l’épisode précédent « LA NUIT» .

Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)

Ainsi se termine cette saga qui a réuni Zéda et Léo Ferré pour une grande aventure poétique. J’espère que vous aurez pris autant de plaisir à la lire (et à l’écouter) que moi à la réaliser. A bientôt pour de nouvelles aventures de notre héros.

NIGHT AND DAY : – Nous voilà dehors. – Je suis libre. – Le soleil se couche enfin. – La nuit reprend ses droits. Et la lune ses quartiers. Merci mes amis. Au revoir. – Au revoir. – A bientôt. – Hou – On a réussi. Merci Léo. – merci Sosthène. – Hou hou – Je comprends. – ? – Hou – Salut. – Salut Sosthène. – Il a perdu une plume. – Ou il vous laisse un souvenir. – Merci de ton aide, mon vieux. – J’ai pas fait grand-chose. Quelle journée. Je vais rentre me coucher. – Je t’accompagne, on va marcher un peu. – Super. – Hé, on marche au même rythme, on est copains de pas. – C’est top. – et oui, c’est ça monsieur, le printemps des poètes, tout juste u peu d’hiver pour rompre les façons, un quart d’été, un quart d’automne et des chansons, Et s’il fait encore frais, on se met la casquette comme Caussimon, – L’espace d’un matin, l’espace d’une nuit. (FIN ?)

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LA NUIT

La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » s’approche de la fin avec son neuvième et avant-dernier épisode « LA NUIT». Vous n’avez pas lu les épisodes précédents ? Vous pouvez partir du premier épisode « PREFACE » ! Et si vous êtes là depuis le début et que vous souhaitez vous remettre dans le bain, vous pouvez relire l’épisode précédent « LES RUPINS » .

Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)

Epilogue de cette folle saga dans le dernier épisode « NIGHT AND DAY« .

LA NUIT : – fff fff – fff – fff – fff – Je tourne en rond – fff – Ca copute rien d’essayer. – Tiens, c’est pas verrouillé. – Les ordinateurs de la Bourse ! Et au fond… – Hé vous (US / Sold / Buy $120 £150 Y850) – Qu’est-ce que vous faites là ? (sold under 40k 1540 Unit) – Vos collègues en haut ont un souci, un bas de laine qui fuit. ($150km founds trading) – C’est extrêmement grave. Je vais voir. – Allez-y, je surveille la nuit. (150M$ spare) – C’est la porte au fond, hein ? – oui, oui ! (164 648 624£ sold) – Assez perdu de temps ! ($50kM 823 k£ sold) – Ca doit être là. – C’est encore ouvert. Etonnant ! – ? – La nuit ? – Oui, je suis là. – Je vais ouvrir la boîte, vous serez libre. – Non, je ne pourrais pas sortir. Cette lumière ne crée pas d’ombre. Je ne pourrai pas me répandre sans ombre. – Vous avez raison, j’ai plus d’ombre ici. – Ah, je te cherchais. – Léo, vous avez pas été trop dur avec les kidnappeurs. – Ces dégueulasses sont allés faire un tour à dos de baleine, avec leur troisième copain. – Génial. La nuit est là. – Mais il faut créer de l’ombre pour qu’elle sorte. – Dame Nuit, enfin. – Léo ! – Ne vous inquiétez pas, on va trouver une solution. (grat) – J’ai trouvé. Léo, regardez dans vos poches. – Euh… d’accord. – Des pastilles, un peigne, des kleenex, un paquet de celtiques… – Ah, une plume ! – oui, une plume. C’est toute une histoire. – Lui, pourrait nous aider. – Bien sûr, Sosthène, mon vieux copain, j’avais écrit une chanson pour lui. – Les copains de la neuille, les frangins de la night, ceux qu’ont le portefeuille pas vraiment allright, – Ceux qu’on la vie brève comm’la fleur des champs, ceux qui vivent en rêve pour gagner du temps, – Les copains du soir, les frangins de la nuit, ceux qui bossent au noir jusqu’au bout d’leur vie, – Oui, une ombre ! – Partons d’ici. – Je vous suis dans l’ombre de Sosthène. – hou hou – Je respire enfin. (A SUIVRE…)

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LES RUPINS

La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » continue avec son huitième épisode « LES RUPINS». Vous n’avez pas lu les épisodes précédents ? Vous pouvez partir du premier épisode « PREFACE » ! Et si vous êtes là depuis le début et que vous souhaitez vous remettre dans le bain, vous pouvez relire l’épisode précédent « LES MUSICIENS » .

Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)

Les grandes retrouvailles arrivent mais des obstacles restent encore à franchir dans l’avant-dernier épisode « LA NUIT » !

LES RUPINS : – Oui, le palais de la Bourse, c’est là que la nuit est retenue. – TADAMMM – ? – ? – Libérez la nuit ! – C’est hors de question, monsieur. – Ainsi, nous sommes découverts. – Mais qui êtes-vous ? Et pourquoi avoir enlevés la nuit ? – ha ha ha – ha ha ha – ? – Vous nous avez trouvés, sans rien comprendre à notre action. C’est étonnant. – Ridicules et chanceux. – Nous sommes les têtes pensantes du CAC-40, les décideurs du monde, messieurs. – Et bien plus que ça. – Je commence à comprendre les motivations dégueulasses qui vous animent. – Si le jour ne s’arrête pas, les gens que vous employez ne s’arrêtent pas de travailler dans vos usines. – Tout à fait. – Et en plus, nous ne les payons qu’une journée. Au tarif journalier, bien sûr, pas horaire. – Mais c’est honteux ! Tout ça pour l’argent ! – Quelle naïveté ! – Pour l’argent ET le pouvoir. – Le contrôle de la masse des salariés. – Nos usines tournent sans arrêt, à part quelques pauses repas. – Que nous offrons gracieusement. – Nous convoyons nos produits dans le monde entier. – En une journée ! – Mais les gens vont s’épuiser. Ils ont besoin de dormir. – Bien sûr, nous ne sommes pas des monstres, nous autorisons des siestes sur la journée. – Déduites du temps de travail. – Mais nous sommes généreux. en plus des repas, nous leur proposons même la télé pendant les pauses. – Gratuitement. – Du pain, des jeux, et le peuple est repu. – Et travailleur. – C’est fini tout ça. Libérez la nuit ou nous dévoilons tout. – De toute façon, personne ne vous croira. A part les complotistes, que nous contrôlons déjà. – Laissez donc ces gens-là tranquilles, ces courbettes imaginées que vous leur inventez, ces désespoirs soumis, toute cette tristesse qui se lève le matin à heure fixe pour aller gagner vos sous, – Avec les poumons resserrés, les mains grandies par l’outrage et les bonnes mœurs, les yeux défaits par les veilles soucieuses et vous comptez vos sous ? Pardon, leur sous, – En long, en large, en marge de ces salaires que vous lâchez avec précision, avec parcimonie, j’allais dire, en douce, – Je veux dire que pour exploiter votre prochain, vous êtes les champions de l’anonymat – Il n’y a plus rien, et ce rien, on vous le laisse ! Un jour, dans dix mille ans, quand vous ne serez plus là, nous aurons tout. Rien de vous, tout de nous. – Et les microbes de la connerie que vous n’aurez pas manqué de nous léguer, montant de vos fumures, de vos livres engrangés dans vos silothèques, de vos documents publics, – de vos règlements d’administration pénitentiaire, de vos décrets, de vos prières même, – tout ces mircobes juridico-pantouflards, soyez tranquilles, nous avons déjà des machines pour les révoquer, – Au secours – Un escalier secret ? – Nous aurons tout, dans dix mille ans – Pitié – Léo ? – Bon, j’y vais. (A SUIVRE…)

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LES MUSICIENS

La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » continue et voici le septième épisode « LES MUSICIENS». Si vous embarquez avec Zéda en cours de route, vous pouvez reprendre cette épopée au premier épisode « PREFACE » ! Et si vous faites partie de l’équipage depuis le début et que vous souhaitez vous rafraîchir la mémoire, voguez vers l’épisode précédent « LE BATEAU IVRE« .

Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)

Quelles nouvelles piste Zéda et Léo vont trouver à la bourse de Paris ? Vous le saurez dans le prochain épisode : « LES RUPINS » !

LES MUSICIENS : – C’est magnifique ici mais… – Comment on va faire maintenant ? – On sait toujours pas où est la nuit, qui l’a enlevée. Si on échoue, on travaillera éternellement, plus d’espoir, de rêves jusqu’à la fin. – Et l’humanité ne trouvera jamais le bonheur… – Allons, rappelle-toi… – Nous aurons du vin, de celui qui pétille même quand il dort – Nous aurons des fruits, les mêmes qu’on grapille dans le champ voisin – Nous aurons l’amour dedans tous nos problèmes et tous les discours finiront par je t’aime – Vienne vienne alors, Vienne l’âge d’or – Oui, rien n’est perdu. – L’an dix mille est plus proche qu’on ne pense. – Allez, cherchons une nouvelle piste. – bien – ? – Léo, regardez, de la musique ! – Remontons le courant musical. – ok – Je connais ce morceau. – Ludwig ! La sonate 27. – Vous êtes… Ludwig van Beethoven ? – oui. – Mon vieil ami. – Incroyable. – Léo ! – Vous n’êtes pas sourd ? – Si. – vous lisez sur les lèvres ? – Non. (grat grat) – hi hi – hé hé – Ah, ah, je vais vous expliquer. – Ici, j’entends la musique avec le cœur. Je ressens le son, je ne l’entends pas. – fabuleux – Ludwig, la nuit a été enlevée. Nous devons la retrouver. – Comment je peux vous aider ? – Nous pensions que vous auriez une piste. – Léo, Ludwig, votre musique va jusqu’au cœur des gens. Jouez pour la nuit, et elle le sentira et nous suivrons la musique jusqu’à elle. – mais oui – bien vu  – Léo, à vous de diriger. – Mais Maestro, je ne peux pas vous diriger. – vous ne me dirigez pas, Léo. vous dirigerez ma musique jusqu’au cœur de la nuit. – Alors, jouons Egmont ! – Sostenuto ma non troppo 1… 2… 3… 4… 5… 6… – Au revoir Ludwig. – bonne chance – C’est là, je le sens. – A la bourse ? (A SUIVRE…)

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LE BATEAU IVRE

La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » avance encore et toujours avec le sixième épisode « LE BATEAU IVRE». Si vous prenez l’aventure en cours, vous pouvez commencer avec le premier épisode « PREFACE » ! Et si vous suivez déjà cette folle épopée et que vous voulez juste vous remettre dans le bain, relisez l’épisode précédent « L’ÎLE SAINT-LOUIS« .

Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)

Où nos deux camarades vont-ils trouver une nouvelle piste ? La réponse tout de suite dans le prochain épisode.

LE BATEAU IVRE : – La nuit est loin ? – JE NE SAIS PAS, JE SUIS MON INSTINCT. – Fions-nous à l’île Saint-Louis. – ça marche. – N’empêche, je me demande qui a bien pu être assez dégueulasse pour enlever la nuit. – ? – Léo, regardez-Là-bas ! – Des peaux-rouges ! – On est sur la bonne voie. – Ah bon ? – Mais oui, Arthur disait « J’ai heurté savez-vous d’incroyables Florides ». – Mais oui, le Bateau ivre. – ACCROCHEZ-VOUS, LES AMIS » – Comme je descendais des fleuves impassibles, je ne me sentais plus guidé par les haleurs, – des peaux-rouges criards les avaient pris pour cible, les ayant cloués nus à des poteaux de couleur, – Hey – Hoo – Dans les clapotements furieux des marées, moi, l’autre hiver, plus sourds que les cerveaux d’enfants, j’ai couru, – A LA VOILE !  – Et les péninsules démarrées n’ont pas subi de tohu-bohu plus triomphants – Je sais les cieux crevant en éclairs et les trombes et les ressacs et les courants, – Je sais, le soir, l’aube exaltée, ainsi qu’un peuple de colombes – Et j’ai vu quelque fois, ce que l’homme a cru voir – J’ai heurté savez-vous d’incroyables Florides – Mêlant aux fleurs des yeux de panthères à peaux d’hommes ! – Des arcs-en-ciels tendus comme des brides sous l’horizon des mers, à de glauques troupeaux ! – Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braise ! – Et je voguais lorsqu’à travers mes liens frêles, des noyés descendaient dormir à reculons, – Quand avec mes haleurs, – -ont fini ces tapages, – Les fleuves m’ont laissé descendre où je voulais. – Du mauve partout !  – C’est magnifique, hein ? – NOUS SOMMES ARRIVES ! – Ah ? – Mais où est la nuit ? – JE L’IGNORE, VOTRE QUÊTE CONTINUE ICI. – au revoir – salut – BONNE CHANCE ! – Mais où aller maintenant ? (A SUIVRE…)

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L’ÎLE SAINT-LOUIS

La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » continue avec le cinquième épisode « L’ÎLE SAINT-LOUIS». Si vous prenez l’aventure en cours, vous pouvez aller lire le premier épisode « PREFACE » ! Et si vous suivez déjà cette saga et que vous voulez juste vous rafraîchir la mémoire, relisez l’épisode précédent « A SAINT-GERMAIN DES PRES ».

Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)

D’après vous, jusqu’où vont naviguer Zéda et Léo Ferré pour retrouver la nuit ? La réponse dans l’épisode de la semaine prochaine « LE BATEAU IVRE » !

L’ÎLE SAINT-LOUIS : – On est sur l’île Saint-Louis. – On a changé de rive. – C’est ça. – Mais pour retrouver la nuit, on fait comment ? – C’est évident, mon ami. – Ah ? – C’est l’île qui va nous amener. – J’ai bu trop d’absinthe, je rois. – T’inquiète. – tu va voir, on va couper les amarres et… – Nenni ! – vous êtes qui, vous ? – Je suis Louis IX. Et cette île, justement nommée l’île Saint-Louis, relève de mon autorité. – Saint-Louis ! – Exactement, manants. Et je vous somme de quitter mon île. – DE quel droit vous imposez votre loi ? La monarchie, c’est terminé. – Qu’est-ce que vous racontez ? Vous avez perdu la raison ? – Sachez, manants, que je rends la justice divine sous mon vieux chêne et que la plèbe ne s’en est jamais plaint ! – Si je peux me permettre, monsieur… – Dites Majesté quand vous me parlez. – Pardon, majesté. – Je vous pardonne. – Votre chêne, il est au bois de Vincennes, et il est libre. Ce n’est pus votre chêne. – Cela ne se peut ! – Si c’est possible. Et sachez monsieur… – Majesté ! – Monsieur ! Sachez, donc qu’il y a une justice que vous n’avez jamais rendue au peuple. – Et laquelle, manant ? – Celle-ci. – Mais… – Votre abdication ! – non ! (plouf) – Votre cape ! – Arrêtez. – Je préfère le drapeau noir à la marée en robe noire, quand les marins pour ne rien voir, mettent en route la mémoire, – Et si des fois le drapeau noir, sur un voilier en voile noire, mettait la flibuste au pouvoir, ça pourrait déranger l’histoire, – Qui remettra le drapeau noir, à nos voiliers en voile noires, Et les marins au beau milieu, mettront en route leurs beaux yeux. – sur la mer bleue – Et voilà, monsieur, la liberté. – MERCI, LÉO ! – ? – Mais, mais, Dieu me parle. – Non, monsieur,ce n’est pas Dieu, c’est l’île enfin libérée de votre joug, qui peut s’exprimer. – Il faut libérer la nuit. – ALORS EN ROUTE, MES AMIS ! – Incroyable ! – Et bien, nos routes se séparent ici. – J’en attendais pas moins de vous, monsieur. – Avant qu’on coupe les amarres, prenez le pont Saint-Louis, vous serez moins dépaysé. – Je vais faire cela. – Si j’avais eu des chevaliers comme ce vieux lion, le monde aurait été mien. – Mène-nous vers les incroyables Florides ! (A SUIVRE…)

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