Quinze ans déjà !
Zéda entame une quinzième saison grâce à votre soutien.
Alors un grand merci à tous et partons ensemble pour de nouvelles aventures dessinées !
Parution régulière de un à trois strips par semaine
L’ATTENTE DE CAMP : – Mon papa est parti pour empêcher les bombes de tomber. – Tu sais, Katya, on va partir d’ici jusqu’à ce que les bombes cessent de tomber.
La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » s’approche de la fin avec son neuvième et avant-dernier épisode « LA NUIT». Vous n’avez pas lu les épisodes précédents ? Vous pouvez partir du premier épisode « PREFACE » ! Et si vous êtes là depuis le début et que vous souhaitez vous remettre dans le bain, vous pouvez relire l’épisode précédent « LES RUPINS » .
Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)
Epilogue de cette folle saga dans le dernier épisode « NIGHT AND DAY« .
LA NUIT : – fff fff – fff – fff – fff – Je tourne en rond – fff – Ca copute rien d’essayer. – Tiens, c’est pas verrouillé. – Les ordinateurs de la Bourse ! Et au fond… – Hé vous (US / Sold / Buy $120 £150 Y850) – Qu’est-ce que vous faites là ? (sold under 40k 1540 Unit) – Vos collègues en haut ont un souci, un bas de laine qui fuit. ($150km founds trading) – C’est extrêmement grave. Je vais voir. – Allez-y, je surveille la nuit. (150M$ spare) – C’est la porte au fond, hein ? – oui, oui ! (164 648 624£ sold) – Assez perdu de temps ! ($50kM 823 k£ sold) – Ca doit être là. – C’est encore ouvert. Etonnant ! – ? – La nuit ? – Oui, je suis là. – Je vais ouvrir la boîte, vous serez libre. – Non, je ne pourrais pas sortir. Cette lumière ne crée pas d’ombre. Je ne pourrai pas me répandre sans ombre. – Vous avez raison, j’ai plus d’ombre ici. – Ah, je te cherchais. – Léo, vous avez pas été trop dur avec les kidnappeurs. – Ces dégueulasses sont allés faire un tour à dos de baleine, avec leur troisième copain. – Génial. La nuit est là. – Mais il faut créer de l’ombre pour qu’elle sorte. – Dame Nuit, enfin. – Léo ! – Ne vous inquiétez pas, on va trouver une solution. (grat) – J’ai trouvé. Léo, regardez dans vos poches. – Euh… d’accord. – Des pastilles, un peigne, des kleenex, un paquet de celtiques… – Ah, une plume ! – oui, une plume. C’est toute une histoire. – Lui, pourrait nous aider. – Bien sûr, Sosthène, mon vieux copain, j’avais écrit une chanson pour lui. – Les copains de la neuille, les frangins de la night, ceux qu’ont le portefeuille pas vraiment allright, – Ceux qu’on la vie brève comm’la fleur des champs, ceux qui vivent en rêve pour gagner du temps, – Les copains du soir, les frangins de la nuit, ceux qui bossent au noir jusqu’au bout d’leur vie, – Oui, une ombre ! – Partons d’ici. – Je vous suis dans l’ombre de Sosthène. – hou hou – Je respire enfin. (A SUIVRE…)
DERNIER SOUFFLE : – J’aide Neno, il est en fin de vie. Je ne comprends pas pourquoi il veut finir son animation, ça le fait souffrir. – Peut-être qu’il veut donner un dernier souffle de vie avant son dernier soupir, c’est bien que tu sois là. – Viens prendre la photo.
La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » continue avec son huitième épisode « LES RUPINS». Vous n’avez pas lu les épisodes précédents ? Vous pouvez partir du premier épisode « PREFACE » ! Et si vous êtes là depuis le début et que vous souhaitez vous remettre dans le bain, vous pouvez relire l’épisode précédent « LES MUSICIENS » .
Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)
Les grandes retrouvailles arrivent mais des obstacles restent encore à franchir dans l’avant-dernier épisode « LA NUIT » !
LES RUPINS : – Oui, le palais de la Bourse, c’est là que la nuit est retenue. – TADAMMM – ? – ? – Libérez la nuit ! – C’est hors de question, monsieur. – Ainsi, nous sommes découverts. – Mais qui êtes-vous ? Et pourquoi avoir enlevés la nuit ? – ha ha ha – ha ha ha – ? – Vous nous avez trouvés, sans rien comprendre à notre action. C’est étonnant. – Ridicules et chanceux. – Nous sommes les têtes pensantes du CAC-40, les décideurs du monde, messieurs. – Et bien plus que ça. – Je commence à comprendre les motivations dégueulasses qui vous animent. – Si le jour ne s’arrête pas, les gens que vous employez ne s’arrêtent pas de travailler dans vos usines. – Tout à fait. – Et en plus, nous ne les payons qu’une journée. Au tarif journalier, bien sûr, pas horaire. – Mais c’est honteux ! Tout ça pour l’argent ! – Quelle naïveté ! – Pour l’argent ET le pouvoir. – Le contrôle de la masse des salariés. – Nos usines tournent sans arrêt, à part quelques pauses repas. – Que nous offrons gracieusement. – Nous convoyons nos produits dans le monde entier. – En une journée ! – Mais les gens vont s’épuiser. Ils ont besoin de dormir. – Bien sûr, nous ne sommes pas des monstres, nous autorisons des siestes sur la journée. – Déduites du temps de travail. – Mais nous sommes généreux. en plus des repas, nous leur proposons même la télé pendant les pauses. – Gratuitement. – Du pain, des jeux, et le peuple est repu. – Et travailleur. – C’est fini tout ça. Libérez la nuit ou nous dévoilons tout. – De toute façon, personne ne vous croira. A part les complotistes, que nous contrôlons déjà. – Laissez donc ces gens-là tranquilles, ces courbettes imaginées que vous leur inventez, ces désespoirs soumis, toute cette tristesse qui se lève le matin à heure fixe pour aller gagner vos sous, – Avec les poumons resserrés, les mains grandies par l’outrage et les bonnes mœurs, les yeux défaits par les veilles soucieuses et vous comptez vos sous ? Pardon, leur sous, – En long, en large, en marge de ces salaires que vous lâchez avec précision, avec parcimonie, j’allais dire, en douce, – Je veux dire que pour exploiter votre prochain, vous êtes les champions de l’anonymat – Il n’y a plus rien, et ce rien, on vous le laisse ! Un jour, dans dix mille ans, quand vous ne serez plus là, nous aurons tout. Rien de vous, tout de nous. – Et les microbes de la connerie que vous n’aurez pas manqué de nous léguer, montant de vos fumures, de vos livres engrangés dans vos silothèques, de vos documents publics, – de vos règlements d’administration pénitentiaire, de vos décrets, de vos prières même, – tout ces mircobes juridico-pantouflards, soyez tranquilles, nous avons déjà des machines pour les révoquer, – Au secours – Un escalier secret ? – Nous aurons tout, dans dix mille ans – Pitié – Léo ? – Bon, j’y vais. (A SUIVRE…)
Retrouvez en avant-première sur A VOIR A LIRE toutes les chroniques dessinées mensuelles de Zéda !
ZEDA PARLE DE… LA COULEUR DES CHOSES : – Et pour parler de cette BD, je reçois son protagoniste… – Simon Hope ! – bonjour – Euh, pourquoi vous êtes allongé par terre ? – Parce que je peux être vu que de dessus. – Ah oui, c’est le concept de la BD, tout est vu de haut. – Voilà. – Du coup, tous les personnages apparaissent comme des ronds. – sauf la baleine. – Mine de rien, Simon, votre aventure a été primée au Festival d’Angoulême. – Oh, c’est grâce à l’auteur, M. Panchaud. – Et qu’est-ce que vous alez faire maintenant ? Vous relevez ? – J’aimerais bien (toc toc) – Mais je dois attendre la fin du contrat avec l’éditeur. Je peux pas rompre la charte graphique de la BD. (hiiiinnn) – OH, AU LIEU DE FAIRE DES PETITS RONDS, Y VA FINIR SON ARTICLE FISSA ! (SLAM / LA COULEUR DES CHOSES: UNE BD RENVERSANTE / à voir à lire)- CA alors, c’est comme s’il m’avait vu du dessus. – Oui, notre directeur a une vue globale…
La saga de l’été « LA VOIX FERRÉ » continue et voici le septième épisode « LES MUSICIENS». Si vous embarquez avec Zéda en cours de route, vous pouvez reprendre cette épopée au premier épisode « PREFACE » ! Et si vous faites partie de l’équipage depuis le début et que vous souhaitez vous rafraîchir la mémoire, voguez vers l’épisode précédent « LE BATEAU IVRE« .
Petit rappel : Vous pouvez allumer vos enceintes ou brancher vos casques car les épisodes de cette aventure estivale comportent du son, indiqué par les petits player (comme ci-dessous) au début et à différents moments des épisodes ! Toutes les chansons de cette série sont de Léo Ferré mais toutes les musiques ont été réenregistrées par votre serviteur, à la maison. :^)
Quelles nouvelles piste Zéda et Léo vont trouver à la bourse de Paris ? Vous le saurez dans le prochain épisode : « LES RUPINS » !
LES MUSICIENS : – C’est magnifique ici mais… – Comment on va faire maintenant ? – On sait toujours pas où est la nuit, qui l’a enlevée. Si on échoue, on travaillera éternellement, plus d’espoir, de rêves jusqu’à la fin. – Et l’humanité ne trouvera jamais le bonheur… – Allons, rappelle-toi… – Nous aurons du vin, de celui qui pétille même quand il dort – Nous aurons des fruits, les mêmes qu’on grapille dans le champ voisin – Nous aurons l’amour dedans tous nos problèmes et tous les discours finiront par je t’aime – Vienne vienne alors, Vienne l’âge d’or – Oui, rien n’est perdu. – L’an dix mille est plus proche qu’on ne pense. – Allez, cherchons une nouvelle piste. – bien – ? – Léo, regardez, de la musique ! – Remontons le courant musical. – ok – Je connais ce morceau. – Ludwig ! La sonate 27. – Vous êtes… Ludwig van Beethoven ? – oui. – Mon vieil ami. – Incroyable. – Léo ! – Vous n’êtes pas sourd ? – Si. – vous lisez sur les lèvres ? – Non. (grat grat) – hi hi – hé hé – Ah, ah, je vais vous expliquer. – Ici, j’entends la musique avec le cœur. Je ressens le son, je ne l’entends pas. – fabuleux – Ludwig, la nuit a été enlevée. Nous devons la retrouver. – Comment je peux vous aider ? – Nous pensions que vous auriez une piste. – Léo, Ludwig, votre musique va jusqu’au cœur des gens. Jouez pour la nuit, et elle le sentira et nous suivrons la musique jusqu’à elle. – mais oui – bien vu – Léo, à vous de diriger. – Mais Maestro, je ne peux pas vous diriger. – vous ne me dirigez pas, Léo. vous dirigerez ma musique jusqu’au cœur de la nuit. – Alors, jouons Egmont ! – Sostenuto ma non troppo 1… 2… 3… 4… 5… 6… – Au revoir Ludwig. – bonne chance – C’est là, je le sens. – A la bourse ? (A SUIVRE…)
tranches d’humour, tranches d’amour, tranches de vie
Zéda, c’est un héros de BD vu de dos.
Zéda, c’est un peu de vous, un peu de moi, un peu de nous tous…
Alors libre à chacun d’imaginer son visage et celui des gens qui peuplent son univers.
Venez goûter quelques tranches de vie cocasses et tendres.
Elles vous content le quotidien de ce jeune homme rêveur en quête d’un bonheur incertain et d’une petite place dans la société d’aujourd’hui…
Les histoires de Zéda et… et…
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